Tom Villa Fils De Patrick Sébastien – Olivier Villa est un artiste dévoué comme son père, Patrick Sébastien, mais il passe rarement du temps avec ses enfants. L’homme de 41 ans est resté “plusieurs années”, sans parler à aucun senior. Olivier Villa, fils de Patrick Sébastien, ne dira pas qu’être artiste est une chose simple.
Cet homme de 41 ans a quatre enfants issus de deux relations différentes. Son emploi du temps en tant que musicien et auteur-compositeur l’empêche de les voir souvent. “Les anciens et moi ne nous sommes pas parlé depuis des années comme mon père dans son métier”, dans les pages d’Ici Paris, Olivier Villa a révélé son secret.
Il est bon de savoir que sa progéniture ne semble pas avoir de ressentiment. Leur fierté envers moi est palpable, a-t-il déclaré. Olivier Villa est clairement mis à l’épreuve par les circonstances, et il ne cache pas son intensité l’incapacité d’expliquer aux jeunes enfants “pourquoi nous nous battons”.
Et “que ce conflit est celui d’un artiste”, a-t-il dit, était une “douleur” mais le traducteur de Vies a vie peut toujours compter sur le soutien de son papa: “mon papa venait souvent les voir pour les rassurer” Olivier Villa et Patrick Sébastien s’entendent très bien tant qu’il ne cherche pas.
A masquer le fait qu’il a été en partie élevé par sa tante Françoise en raison de la carrière extrêmement chronophage de son père. Nous partageons beaucoup de points communs chaque fois que nous rencontrons un problème, nous sommes en mesure de le résoudre rapidement.
Nous parlons plus au téléphone que nous ne nous voyons, a admis le jeune frère de Sébastien, mais il m’a appris à être flexible. A respecter les gens, toujours se poser des questions et accepter de devoir faire des compromis. Vivre et renaître chaque jour est le nouveau livre de l’ancien animateur du “plus grand cabaret du monde”.
Sur son expérience de récupération après une opération du cancer du rein au début de l’année. Il discute de son divorce à l’amiable avec Nana sur le plateau de “Buzz TV” je me suis persuadé que tous les textes que je lisais auraient une sorte d’application pratique. J’ai quelques stratégies pour gérer l’anxiété que je pense que d’autres trouveraient utiles.
Pour la première fois en 68 ans, j’ai vécu un véritable tsunami en deux ans, j’ai avalé ce qui suit: l’éviction révoltante de France Télévisions, des deuils importants liés aux familles, la fin de ma relation avec Nana, et un cancer du rein nécessitant une grosse opération. J’ai une cicatrice qui est là depuis 40 ans maintenant.
Je vais bien; pas de soucis ici je considère que ma bonne fortune a été fournie par l’univers. Pour la deuxième fois de ma vie, cela s’est produit. Découvertes accidentelles de tumeurs malignes. En janvier, cela s’est produit. Par précaution, j’ai de nouveau passé une échographie au bébé pour m’assurer que tout allait bien.
Après avoir remarqué une petite tache blanche sur ma peau, le Dr Georges a recommandé une IRM et une biopsie. Au fil du temps, il a appris ce qu’était le cancer il mesurait 3 centimètres, mais a été enlevé chirurgicalement et la chimiothérapie n’a pas été nécessaire. En conséquence, j’ai eu une procédure induite par l’anesthésie de huit heures.
C’était difficile de se remettre sur pied et d’entamer le processus de réhabilitation. Cependant, cela a changé deux mois plus tard lorsque je suis monté sur scène. Malheureusement, c’est inévitable. Malgré sa réputation effrayante, le mot cancer ne me fait pas peur. Lorsqu’il se rétablira, la médiation sera une option intrigante.
En se complaisant dans sa propre misère, on ne fait rien pour les aider à renaître ma mère m’a réconforté avec ces mots: ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est le début d’autre chose, après la mort de mon fils. Ni le ressentiment ni l’amertume ne peuvent nous donner une seconde chance dans la vie.
J’ai toujours été une personne bienveillante et j’ai plongé tête la première dans un certain nombre d’efforts. Faites tout ce qu’il faut pour garder les pieds sur terre. Et si cela aide quelques personnes à s’accrocher un peu plus, tant mieux. Au cours de mes voyages, j’ai rencontré de nombreuses personnes dont la vie s’est améliorée grâce.
A la lecture de mes livres cela me procure beaucoup de plaisir bien qu’il n’y ait pas de relation causale entre le stress et la santé, il existe une corrélation entre les deux. Mon diagnostic de mélanome est survenu peu de temps après le décès de ma mère. De plus, le vaccin est un autre sujet que je traite dans le livre.
Pas un conspirateur, mais à surveiller dans le passé, je n’avais aucune protection contre la maladie. Ensuite, j’ai eu un pré-diabète et une prostatite. Je ne veux pas inférer de culpabilité, mais je suis curieux. Il semble que ce soit la norme là où je suis que beaucoup de gens aient développé une sorte de trouble.
Plutôt que de crier à travers les plateaux, je compte sur mes relations avec Emmanuel Macron. Nous sommes rencontrés deux fois en personne et restons en contact régulièrement par téléphone. Si je peux lui poser des questions et obtenir des réponses de sa part, c’est un signe positif.
Quant au quatrième coup, j’ai précisé que je ne voulais pas l’obtenir ce n’est lié à rien pour lui, mais il comprend toujours ce que je dis. A mon avis, le destin est déjà décidé et tout est écrit. Je me fiche de mourir au moment où je quitte cet endroit. Ce qui ne peut être empêché n’est pas une source de colère pour moi.
C’est une aubaine pour vivre une vie plus confortable jeaurait pu gagner le respect des élites si j’avais choisi d’abandonner le non-sens de ma vie, les chansons que j’apprécie, et les absurdités flagrantes qui font partie intégrante de mon existence, tout cela grâce à ma culture et à mon éducation vous faites référence à “celui qui brille”.
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