Darius Rochebin Sa Religion

Darius Rochebin Sa Religion Son vrai nom est Darius Khoshbin et il est n le 25 dcembre 1966 Genve, en Suisse. Son pre, Alishah Khoshbin, est n en Iran. Sa grand-mre tait plus ge que sa mre, dcde en 1994 lge de 77 ans. Darius Khoshbin est tudiant lUniversit de Genve,

Darius Rochebin Sa Religion – Son vrai nom est Darius Khoshbin et il est né le 25 décembre 1966 à Genève, en Suisse. Son père, Alishah Khoshbin, est né en Iran. Sa grand-mère était plus âgée que sa mère, décédée en 1994 à l’âge de 77 ans. Darius Khoshbin est étudiant à l’Université de Genève, où il se spécialise en littérature française. Vers l’âge de vingt ans, il décide d’adopter le patronyme français Rochebin.

En 1987, il débute sa carrière de journaliste au Journal de Genève, puis à L’Illustré. En 1995, il rejoint la Radio Télévision Suisse (RTS) et devient l’animateur des journaux télévisés de fin de soirée. Deux années s’écoulent avant qu’on ne lui confie le magazine d’information télévisée du week-end.

Depuis 1998, il anime l’émission d’information nationale suisse sur TV5Monde à 19h30 sous le titre Le Journal national suisse. Aussi, il anime l’émission hebdomadaire Pardonnez-Moi, dans laquelle il interviewe une personne célèbre. Le journaliste a depuis interviewé Vladimir Poutine, Jean d’Ormesson et Edward Snowden, entre autres.

Le journaliste quittera son siège de nuit à 19h30 en août 2019 après vingt et un ans. Par la suite, il présente en alternance le journal télévisé du week-end. Darius Rochebin quittera la RTS en août 2020 pour animer sa propre émission quotidienne, Le 20.00, sur LCI dans le cadre du réseau TF1.

Dans sa vie personnelle, Darius Rochebin est marié à la médecin généraliste franco-suisse Marie Faure. Ils ont deux filles : Maa, née en janvier 2010, et Charlotte, née l’année suivante. Sa mère s’est suicidée en 2008; elle s’appelait Irène Khoshbin.

24 octobre 2014, à Fribourg (Apic) Le 24 octobre 2014, la faculté de théologie de l’Université de Fribourg a invité un animateur de télévision suisse bien connu à prendre la parole. Pendant plus d’une heure, Darius Rochebin, animateur du JT de 19h30, a discuté de religion et de ses vues journalistiques avec les nombreux collégiens venus rencontrer celui qui, du lundi au jeudi, est accueilli dans plus de 60% des Suisses. maisons. Le journaliste, invité par les étudiants, s’est retrouvé dans un cadre insolite. Une fois quand on ne s’y attendait pas, c’est lui qui a répondu aux questions de son auditoire.

Darius Rochebin, au nom du groupe, explique que les phénomènes religieux sont stratégiquement placés dans le paysage médiatique roumain. Constatant que le monde et, par extension, les éditeurs, « peinent à comprendre » son message, il précise : « Il nous le rappelle sans cesse ». Et pour le journaliste de retracer le cours récent des événements.

Tout au long des années 1980, alors que nous nous intéressions davantage à des sujets comme le pétrodollar et la santé du pape Jean-Paul II, nous avions tendance à sous-estimer son importance.

Darius Rochebin Sa Religion

Ce n’est plus le cas. La foi est une réalité puissante qui peut transformer sa vie. Les gens qui ont des opinions bien arrêtées me fascinent parce que dans une société comme la nôtre, où la plupart d’entre nous penchent vers le spectre politique socialiste ou démocrate, il est rare de trouver quelqu’un qui ne défend pas quelque chose. Ils sont extraordinairement puissants».

“Nous devons être critiques envers nous-mêmes”

Et si ces croyances peuvent être profondément ancrées chez certains, elles sont néanmoins étrangères au journaliste moyen. J’étais place Saint-Pierre en 2005, lorsque le pape Jean-Paul II est mort.

Beaucoup de jeunes pouvaient être vus dans la foule. Un fort sentiment de foi partagée a imprégné tout le groupe. En tant que journalistes, cependant, nous présentons cette réalité d’un point de vue objectif. Pour être des penseurs critiques, nous devons élever toute vérité au-dessus de la vérité du sujet.

De ce point de vue, les médias sont devenus « un monstre d’objectivité ». Avec les journalistes, “elle est presque mécanique”, comme le dit Darius Rochebin. Nous ne vivons plus à une époque du journalisme où le point de vue subjectif de l’éditeur prenait le pas sur les faits. Il est vrai que la technologie a permis une force de vérité plus puissante. , mais cela a également rendu cette force plus relativiste.

Le degré d’objectivité et les nuances qui y sont

Pour Darius Rochebin, l’opinion publique est le critère ultime qui détermine l’étendue du travail et de la recherche d’un journaliste. Quand les gens vous voient prendre des positions partisanes extrêmes dans les médias, ils vous rappelleront qu’ils regardent. La honte du peuple fonctionne à merveille.

Loin d’être une entrave, cette “objectivité intégrale” lui sert de terrain de jeu dont il se délecte. Avoir une perspective impartiale peut vous mener loin dans la vie. Il est crucial de garder la plus grande rigueur dans la description des subtilités d’une approche « racinienne » du journalisme, qui cherche à décrire le réel dans tout ce qu’il porte, du clair à l’obscur. C’est jusqu’où il est prêt à aller pour retrouver “l’humanité d’un djihadiste”, avoue-t-il.

L’Église et l’opinion populaire

Pourtant, ceux « qui soutiennent une vérité supérieure à la petite vérité factuelle » peuvent trouver cette objectivité frustrante. La vision dominante, qui prend parfois la forme du politiquement correct, risque-t-elle d’étouffer toute conviction qui serait considérée comme « hétérodoxe » ?

Darius Rochebin soutient que même l’Église est liée par ce point de vue répandu. Le terme « conversion » lui-même est devenu politiquement inapproprié ces dernières années. D’après mon expérience, très peu de chefs religieux ont répondu “oui” quand j’ai demandé s’ils voulaient convertir les gens.

L’Église est-elle tout aussi déterminée à surfer sur la vague de l’opinion publique qui, comme on dit, « se transforme plus vite qu’un carriériste ne peut retourner son gilet ?

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