Bernard Minet Fils De Nicole Croisille

Bernard Minet Fils De Nicole Croisille Avant dincarner Bernard Minet, Charles Aznavour, Nicole Croisille et Sheila taient tous des artistes ayant jou avec le clbre battur. Sbastien, son plus jeune fils, aurait ador passer sa vie travailler dans les cabines de projection.

Bernard Minet Fils De Nicole Croisille – Avant d’incarner Bernard Minet, Charles Aznavour, Nicole Croisille et Sheila étaient tous des artistes ayant joué avec le célèbre battur. Sébastien, son plus jeune fils, aurait adoré passer sa vie à travailler dans les cabines de projection.

Après être devenu un sosie de premier plan dans de nombreux types de dessins animés, dont Bioman, Bernard Minet a acquis une large reconnaissance. Sébastien “a passé un mauvais moment au Club Dorothée”, a-t-il déclaré à Ici Paris dans une interview pour la promotion de son nouveau livre, Ma vie de folie (éditions Mareuil).

Pourquoi est-ce exactement ? Il a dû supporter les « moqueries » de ses camarades de classe à l’école. Mais il n’était pas le seul à « souffrir » de la renommée imméritée de son père La fille de Framboisier a ressenti la même chose, dit-il.

Bernard Minet a exprimé sa déception que les Muscles soient qualifiés de « groupe de beaufs », et dans une certaine mesure, il a raison. Chacun des Muscles était un musicien pleinement développé. D’ailleurs, l’ancien boxeur a révélé : “J’ai toujours un magazine de Guy Carlier que j’ai lu après la mort de René, coincé dans ma gorge.” Mon cœur se serra. Jamais auparavant je n’avais entendu quelqu’un parler d’un décès en termes aussi scandaleux.

En apprenant que René Morizur était décédé à l’âge de 65 ans des suites d’une rupture d’anévrisme, Guy Carlier a déclaré sur la première radio d’Europe : Dorothée, Jacky et Corbier, ainsi que tous ceux qui avaient des muscles, ont disparu. Et puis il y a la télévision.

Il part rejoindre Michael Jackson, John Lennon et James Brown dans le paradis musical qu’ils appellent Neverland. Non, je vais bien… » Bernard Minet n’a toujours pas digéré cette histoire de cochon, même après cinq ans.

Rédigé avec Clarisse MERIGEOT et préfacé par DOROTHÉE, joueur de baseball professionnel et ancien membre de la mythique MUSCLÉS de TF1, Bernard MINET revient sur sa vie et sa carrière dans son autobiographie “Ma vie de folie”.

Depuis son départ, j’ai un rhume, de la toux et j’ai mal au dos. Je n’accorde pas beaucoup de confiance à l’artiste car il a évidemment du mal à travailler de manière indépendante. C’était comme “mon petit Claude” pour moi. En raison de notre air de famille, il était mon ami, mon pote, mon collègue et même mon frère à l’occasion.

C’est un jeune homme assez dur avec lui-même. En effet, cette maladie est une tragédie. À vrai dire, il a vraiment explosé. C’était une défaite qu’il méritait. Cela a été une entreprise difficile. Il souffre un peu en ce moment. Ce fut une fin horrible. J’admire son courage et son audace.

Il est également question de la période difficile qu’a traversée Sébastien, le fils de Bernard Minette. Son passage au « Club Dorothée » fut un véritable cauchemar, pour parler franchement. À l’école, il était la cible de plaisanteries et de taquineries.

Même après avoir été blessé, il a continué à me gronder à ce sujet. L’autocollant de groupe qu’on nous avait demandé d’écrire sur la roulette me paraissait un peu daté. Les MUSCLÉS étaient tous des musiciens accomplis. J’avais dans le ventre une nécrologie écrite par Guy CARLIER pour René lorsqu’il est décédé. J’étais assez affligé.

Jamais auparavant je n’avais entendu un langage aussi grotesque pour décrire un décès. Guy CARLIER avait déclaré : “Tous LES MUSCLÉS ont disparu, même DOROTHÉE, JACKY et CORBIER ont complètement disparu”, sur les ondes de la chaîne de télévision phare d’Europe.

Moitié homme, moitié robot, c’est avec la plus grande sincérité que Bernard MINET se raconte, revenant sur sa grande époque, mais aussi sur les années de morosité qui suivirent, où tout ralentissait de jour en jour, et où il fallut sortir son épingle du jeu. le haut du corps hors de l’eau.

Quel est le problème avec tous ces muscles

Tout ce dont nous avions besoin c’était d’un nom. C’est Dorothée qui a eu l’idée. Nous recevons tous un nouveau T-shirt coloré. Vert, jaune, rouge… On nous appelle les Muscles en référence aux campagnes publicitaires sur les jus de fruits de l’époque. Le terme qu’il utilise pour se promouvoir est « fruité », ce qui signifie « tu es plus musclé ». Ensuite, « tout s’est passé à une vitesse vertigineuse ».

Dans un livre émouvant, Bernard Minet revient sur sa jeunesse sauvage, s’en remémorant non sans humour mais avec l’air nostalgique de celui qui ne regrette rien. C’est le moment de raconter à tous l’ambiance fantastique et électrisante du Club Dorothée, avec toutes ses séries d’animation, de bandes dessinées (Bioman, Goldorak, Dragon Ball, Les Chevaliers du Zodiaque et tant d’autres, etc.) et ses films (Salut les Musclés , La Croisière Folle Amour, etc.).

Bernard Minet Fils De Nicole Croisille

Tout cela est dit par Bernard Minet avec beaucoup de courage et de bienveillance. Sa vie et sa carrière d’instrumentiste pour des personnalités telles que Nicole Croisille, Charles Aznavour, Sheila et Mademoiselle Dorothée sont décrites en détail, en commençant par ses humbles débuts dans le domaine du mas et en terminant par son acceptation au Conservatoire de Musique de Paris. .

Le musicien raconte une pléthore d’anecdotes en coulisses lors d’exercices hilarants de team building avec les Muscles. Après s’être imposé comme batteur, chanteur et acteur, ce Ch’ti possède un charisme de conteur indéniable. Un livre qui a le pouvoir de nous replonger dans notre enfance.

Pour rester dans l’air du temps entre la sortie de son nouvel album “Aujourd’hui” et un triple best-of de CD, nous vous avons donné rendez-vous avec Bernard Minet, la voix des méchants masqués de vos dessins animés japonais préférés, dans le salon VIP du Hard Rock Café à Paris. Music Waves voulait interviewer Bioman, ils ont donc fait des recherches sur lui.

Eh bien, personne ne vous dérangera à ce sujet. Vous n’avez probablement jamais rien vu de comparable à la sortie de cette collection de trois disques de choc auparavant. Nous reviendrons dans le futur. À la lumière des événements récents, c’est fantastique d’entendre vos nouvelles.

Vous avez sorti un livre en 2015, et maintenant vous sortez un album dont nous avons entendu des extraits exclusifs. Tout d’abord, nous réaliserons un entretien biographique. Vous avez grandi dans le Nord, dans une éducation ouvrière. Est-il vrai que devenir musicien vous a permis de fuir votre passé parisien, ou que votre passé vous a fait peur ?

Cependant, à l’époque, les gens n’étaient pas vraiment mis en phase avec quoi que ce soit. La vie d’un travailleur peut être difficile, mais elle n’est pas nécessairement épuisante. Naturellement, j’avais envie d’un nouveau départ. Le livre contient tous les détails. Quand j’avais neuf ans, j’avais l’ambition de devenir trombone.

Je me suis toujours considéré comme le plus grand trompettiste du monde. L’école de musique de ma ville avait accès à des instruments de prêt, mais elle manquait de trombones. C’est très difficile de faire autre chose que du solfège, alors j’ai abandonné un peu épuisé.

Cependant, à l’âge de 12 ans, j’ai commencé à tenir des registres méticuleux et à faire des tas d’objets aléatoires comme des stylets. Mon père a été invité à en discuter avec un copain de boxe. La goutte d’eau qui a brisé le sceau du vase était “Le Palmarès des Chansons” de Guy Lux, avec Raymond Lefèvre à la tête de l’orchestre.

Le batteur était à l’honneur, dirigeant le groupe en lisant leurs cue sheet. Je me suis dit : « Ce type est génial, il joue avec tout le monde et dans tous les genres. Comment avez-vous passé vos années d’adolescence formatrice ?

On se souvient peut-être que vous avez remporté la première place du concours de percussions du Conservatoire Supérieur de Musique de Paris. (Il rompt avec elle) Nous avons rompu en 1974. Contrairement au trombone, je ne suis généralement pas considéré comme le meilleur puncheur.

Vous avez eu la chance de vivre à une époque où les salles de bal permettaient aux joueurs de jouer. Vous joueriez à 7 000 boules de bowling chaque samedi. C’était très amusant de vous voir gratter votre guitare, taper du pied et danser lorsque vous étiez musicien.

Récemment, j’ai passé six heures collé à une paire de machines à encoder et j’ai trouvé l’expérience vraiment agréable. C’était parfaitement logique. Cette célébration n’était pas vraiment déprimante. Nous avons déployé des efforts considérables et nos efforts ont été très appréciés.

Au départ, j’ai eu le plaisir de travailler avec Mme Nicole Croisille. C’est la première fois que j’accompagne une vedette majeure. Mon intention était de regarder en direct une émission de RTL (ils n’en font plus non plus !). Une retransmission en direct des chanteurs a été diffusée à l’écran. Par une étrange tournure des événements, je suis tombé sur Nicole Croisille.

Cette belle fille qui avait voyagé aux Etats-Unis m’a complètement captivé. Je vais vous raconter comment je l’ai rencontrée : nous nous sommes sympathisés, avons partagé quelques pots et travaillons désormais bien ensemble.

Une comédie musicale mettant en vedette Anny Duperey et Bernard Giraudeau intitulée “Attention Fragile” vient de fermer ses portes au Théâtre Saint Georges. Compte tenu de la taille de la salle, les musiciens devaient se produire depuis les coulisses. Nous venons de terminer une saison entière. Nicole Croisille a retrouvé son ancien producteur.

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